Triathlon

La formule Suivi individuel Triathlon de T-Pace :
Prestations :
Réalisation d’un bilan de départ par entretien téléphonique.
Détermination des objectifs  
Planification annuelle 
Plan d’entrainement personnel envoyé par email chaque semaine/ou 2 semaines
Ajustement du planning 
Entretien téléphonique avant chaque compétition importante.
Entretien par mail illimité – Réponse assurée sous 48 heures.
Conseils diététiques.
Bilan post compétition
Suivi à partir de 40€/ mois











T-Pace vous aide à réaliser vos objectifs triathlon, du découverte au mythique Ironman ! 





17 octobre 2014


Ironman Austria – Klagenfurt, le 29 juin 2014
F.Boudazin- Triathlète T-Pace depuis 2009


2014...Une année peu ordinaire !

        Objectif 2014 : être préparé par mon coach Nicolas JEUDY à mon premier IRONMAN. Mon choix s'est porté sur l'IRONMAN d'Autriche se déroulant le 29/05/2014.

        Top départ : Janvier 2014 : 7h30 d'entraînement pour arriver parfois jusqu' à 16h30 en cette phase de préparration ! C'est-à dire plus du double !

       Alors comment réussir une telle performance sans un coach organisé, précis, rassurant!

Impossible de gérer une telle planification d'entraînement seul. Nicolas a ainsi su  personnaliser mon plan d'entraînement en tenant compte d'un quotidien familial, et professionnel que nous avons tous à assumer.

Il a su me proposer des séances variées qui m'ont permis d'encaisser les séances de vélo/Cap/Nat sans lassitude et sans blessures.
Ni trop ni pas assez, il a su d'oser parfaitement la charge d'entraînement nécessaire à une telle compétion et ceci dans les trois disciples concernées.

Ses conseils rassurants, avisés et sa grande capacité d'écoute m'ont permis à la fois de travailler mes points forts et mes points faibles.
Il a su déterminer le temps que j'allais mettre le jour J  au vu de mes capacités. Et il a vu juste : entre 10h30 et 11H !

       Arrivée : L'objectif fût atteint : 10h45 !!! « Alors, un grand merci Coach .5 belles années à tes côtés déjà. Alors maintenant Nicoach, on prépare quoi !!! »

Franck Boudazin



 25 septembre 2014


Ironman Austria – Klagenfurt, le 29 juin 2014
C. Marlier - Triathlète T-Pace depuis 2012

Mon objectif 2014, c’est décidé, ce sera un Ironman pour 2014, plus précisément Ironman-Austria à Klagenfurt.
J’ai découvert le triathlon il y a maintenant quatre années…quatre années à s’entraîner pour espérer progresser dans les trois disciplines et notamment en natation, car avant de me mettre à ce sport, je ne savais pas nager…
Au tout début de mon immersion dans l’Univers du triathlon, le terme Ironman représentait un mythe, « un truc » inaccessible par le commun des mortels, moi en particulier… Mais au fil des semaines, des mois, l’idée se met à germer, à se développer… << Et si tout cela devenait réalisable ? >>
La décision est prise. En juin 2013, soit une année avant l’échéance…
De discussions en discussions avec les collègues du club, ceux qui se sont déjà frottés au « saint-Graal », les finishers, je vais profiter de l’effet de groupe pour me frotter à cette compétition… nous serons cinq du club à nous aligner sur l’épreuve.


La planification de l’entraînement est à la charge de Nicolas Jeudy. Depuis deux ans, il me suit dans mon entraînement et je lui fais entièrement confiance quant à la préparation spécifique de ce type d’épreuve. De toute façon seul dans mon coin, je pense que je cours à la catastrophe…
Pour ma part, depuis que j’ai renoué avec la compétition, ma saison commence toujours doucement en octobre. La saison 2013-2014 ne dérogera pas à la règle : les volumes hebdomadaires sont plutôt légers, 6h30 en moyenne au mois d’octobre, 5h00 en novembre, de nouveau 5h00 puis encore 6h00 en janvier. Malgré toute la confiance que je porte en Nicolas, je m’interroge sur ce volume : il me parait  faible face au monstre que je vais devoir affronter fin juin… Nous en discutons de temps en temps ensemble. L’échange est facile : il me rassure avec ces quelques mots qui reviennent souvent : « on a le temps… »
Pendant ces mois d’hiver, on met l’accent sur la vitesse en course à pied avec quelques trails et 10 km, ainsi que sur la technique en natation. Quelques séances de home-trainer viennent ponctuer le restant des séances. Ce sont des séances que j’affectionne tout particulièrement : seul, dans ma véranda, la musique dans les oreilles, le nez dans le guidon et c’est parti pour une bonne suée… J’adore ! A la maison, ma femme et ma fille, qui m’ont toujours soutenu dans cette entreprise, ne comprennent pas le plaisir que je peux avoir de pédaler seul enfermé entre quatre murs…
Les blessures sont le lot des sportifs amateurs et professionnels, et j’ai le sentiment de ne pas être épargné par les pépins… Le genou, le pied, les cervicales et des crampes dans l’eau viennent ponctuer régulièrement mes semaines. Je crois qu’il va falloir en prendre mon parti… A ce propos, Nico me dit régulièrement : « T’inquiète pas, ça va le faire… » : restons confiant et allons de l’avant…
Le mois de mars arrive et avec lui j’espère enfin les grandes sorties vélos… Ce sera bien le cas ! Alors que depuis octobre, mes vélos de courses cumulent péniblement un peu plus de 500 km, ce mois de mars culminera à plus de 1 100 km avec une sortie par semaine de plus de 100 km… 135 km en fin de mois… Les affaires sont enfin lancées et exactement comme me l’avait prédit le coach, c’est-à-dire peu de soucis notables avec les longues sorties…
Côté natation, c’est la même chose : après quatre mois avec 15 km au compteur, on passe d’un coup à pratiquement quarante kilomètres ! Des distances mensuelles rarement atteintes pour ma part…
Bien sûr pour compenser tout cela, la distance mensuelle de cap vient d’être réduite de moitié… 52 km ce mois-ci.
On termine ce mois de mars à plus de 14h00 de sport hebdomadaire… Il faut espérer que la mécanique tienne la cadence…
Le mois d’avril se profile, nous sommes maintenant à trois mois de l’échéance… Je le sais, je ne suis toujours pas prêt… Mais c’est fait, le coach vient d’envoyer le planning pour cette première semaine du mois… L’ordre est donné de sortir le vélo de chrono et avec lui les premiers enchainements. Ce sera 4h de chrono avec dénivelé suivi de 4 km de cap. Dans trois mois il faudra le faire 10 fois de suite !!!
Je suis enseignant et dans trois semaines ce sera les vacances… Nicolas en tient compte dans sa programmation et me propose donc une semaine de récupération (déjà !) avant d’attaquer un gros bloc de travail.
Nous sommes en semaine 16, ce sera plus de 18h00 de sport avec dimanche plus de 5h00 de chrono suivi de 30 min de cap…
D’ailleurs les vacances, c’est à la fin de la semaine. Enfin samedi ! On attaque par une BDW : la marque de fabrique de Nico. Avec mon ami Franck, on vient de faire 3 km à la piscine et on enchaine avec 120 km de vélo…longtemps sur cette sortie j’aurai eu des crampes d’estomac et puis nous arrivons en fin de sortie…nous revenons sur Remiremont…les douleurs ont disparu…je récupère des jambes et du jus…j’arrive malheureusement un peu trop vite dans un rond-point en devers… la route est mouillée… c’est la chute inévitable...les brûlures…je me relève un peu sonné… rien de cassé… mais les vacances débutent de la plus mauvaise façon… je rentre à la maison au ralenti… un seul trou sur le cuissard… finalement je m’en sors bien… mais une fois dévêtu je constate l’étendue des dégâts… en plus d’une pédale et d’un cintre… je suis brûlé sur le bras gauche et j’ai une énorme escalope sur la fesse gauche… bienvenu dans le club des coureurs cyclistes me dira plus tard un ami avisé… la fesse me brûle… je suis seul à la maison… pas de matos pour soigner ce type de blessure… je prends mon courage à deux mains... passe sous la douche… enfile un bas de jogging et file à la pharmacie de faire soigner… je rentre à la maison et énervé par mon « absence coûteuse », je décide tout de même d’enfiler mon short et part terminer ce qui était prévu… mais la douleur est trop forte… ce sera 60 min de cap et non 90 !

Le coach vient aux nouvelles et de suite il me rassure : « …cela aurait pu être plus grave…t’inquiète ça va le faire… »…
Il faut changer le programme de la quinzaine… le coach est très réactif… pas de natation possible… cap difficile…
Dans la nuit de lundi à mardi, j’ai l’impression que ma fesse va exploser… je ne peux pas dormir… c’est insupportable… rien à voir les douleurs d’après chute… direction le toubib… allergie aux pansements… il faut changer le traitement… super les vacances…
Finalement je peux tout de même pédaler, c’est un moindre mal…
La semaine d’après, c’est la cyclosportive d’Epinal, plus de 150 km et pas mal de dénivelé… finalement j’ai des superbes sensations… je suis rassuré…
Nous sommes déjà mi-mai…on peut désormais compter en jours…plus que 45…
C’est de nouveau une semaine de récupération….
Puis on repart sur deux semaines à 15 heures… on est dans le tempo… pourvu que cela tienne…
Arrive le 8 juin, une date cochée sur le calendrier depuis l’inscription autrichienne… le longue distance de Troyes… mon premier triathlon de la saison… et comme depuis 4 ans maintenant, le premier de la saison est toujours un peu galère… pour cette année ce sera crampes dans l’eau et pendant T1, douleurs aux fessiers sur le vélo et du coup une course à pied galère… je termine explosé… je boîte, j’ai la mine des mauvais jours… dans 21 jours, ce sera fois deux… aïe aïe aïe… mais où j’avais la tête quand j’ai engagé plus de 500 € pour m’inscrire à cette fameuse course… j’angoisse un peu…
Ouf, le lendemain, plus de douleurs, il ne reste que quelques jours pour terminer la préparation… deux semaines à 8h00…
Bilan de cette préparation : quatre passages chez l’ostéopathe, une chute, des inflammations au genou et cervicales, et en quatre mois près de 80 km de natation, 4 000 km de vélo et 400 km de cap... et le sentiment enjoué du devoir accompli…
Direction…Klagenfurt…

Mon premier objectif sur cette épreuve sera d’abord de me faire plaisir et d’être « finisher », de pouvoir dire « je suis un Ironman et désormais je fais parti de la famille pour qui rien n’est impossible »…
Le second sera de descendre sous les 11 heures… l’objectif parait réalisable sur le papier… sur le papier car si je me réfère à ma course à Troyes, l’objectif sera surtout de terminer entier…

Il est 3h du matin, jour J-5, avec mes deux filles et notre camping-car de location, nous rejoignons Gérardmer et deux me mes quatre camarades avec qui je partagerai cette aventure qui se révèlera extraordinaire… Nous voilà parti pour près de 12 heures de route et plus de 800 km… nous traversons l’Allemagne d’ouest en est puis on plonge plein sud…on pénètre en Autriche… des paysages magnifiques nous entourent… la pression va commencer à monter…
Place à l’installation de nos deux campings cars dans un camping situé pratiquement au milieu du village Ironman… c’est grandiose…
Le lendemain, avec Yves et Julien, on part reconnaître une partie du parcours vélo… vendredi matin, petite séance de natation… le plan d’eau est magnifique… l’eau est bleue… c’est fantastique…
Les installations autrichiennes sont du premier ordre, propres, agréables… notre camping se rempli… j’ai l’impression d’un village vacances de triathlètes… tous les campeurs sont des sportifs… derrière notre emplacement, le camping-car de Faris Al Sultan le favori de l’épreuve… pas la grosse tête il accepte volontiers autographes et photographies avec le groupes…
Nous sommes vendredi soir, Franck et David nous ont rejoins, toute l’équipe est maintenant réunie… la pression continue de monter d’autant que nous avons récupéré nos dossards depuis quelques heures…
Samedi… jour J-1… elle monte elle monte… jour de préparation des bidons, des sacs de transition, de la combinaison… je fais mes sacs, les défaits, les refaits… le parc à vélo ouvre cet après-midi, chaque triathlète doit s’y rendre sur un créneau horaire bien spécifique…
C’est l’heure d’amener les affaires au parc, je le découvre, immense et avec lui déjà une foule immense derrière les grilles pour nous observer seulement déposer nos vélos… cela promet pour demain…
03h45 : c’est le jour J, l’heure de prendre sa part de Gatosport… je me rends aux toilettes, mais à ma grande surprise, elles sont toutes occupées… il n’est que 04h00…
J’essaye de me détendre… pas facile… mes filles tentent de me rassurer…
06h00 : la team est dehors, souriante, c’est l’heure de la photo…
06h20 : c’est le départ pour la base nautique…les combinaisons sont déjà à moitié enfilées… la rue est pleine de monde… des triathlètes… des familles… des spectateurs… l’atmosphère semble pesante car malgré le monde le silence règne…
06h45 : départ de la première vague (trop peu nombreux à mon goût !), dernier bisou à mes filles… je prends place sur la plage… interdiction de toucher l’eau… je me place première ligne, complètement à droite… je regarde ma montre… le temps s’écoule lentement… j’écoute ce qu’il se raconte mais je ne maîtrise pas l’Autrichien… ma fille s’est faufilée à mes côtés, je lui fais signe…
06h58 : je lance mon chrono pour ne pas être gêné au départ… sur plus de dix heures, je ne suis pas à quelques minutes près…
07h00 : c’est parti… comme à mon habitude, impossible pour moi de partir rapidement, pas de souffle dans l’eau… je prends mon rythme de croisière… je navigue au large, peu gêné par mes concurrents (en fait aujourd’hui je n’en ai aucun…)… j’arrive au virage de la première bouée… j’ai déjà fait plus de 1200 m... tout se passe bien pour le moment, l’eau est bonne, transparente, pas de buée dans le masque, pas de crampes à l’horizon… c’est fait je tourne à gauche après la quatrième bouée, encore 500 m de fait… le retour vers la berge est difficile, je suis aveuglé par le soleil levant… enfin l’embouchure du canal, j’ai l’impression d’être sauvé mais il me reste encore 1 000 m à parcourir… difficile… il y a foule dans ce canal… par moments c’est l’arrêt obligatoire…
08h16 : je sors de l’eau… pas de crampes… je me sens bien… je parcours les quelques centaines de mètres qui nous séparent du parc à vélo… je m’assois, prends mon temps pour ôter la combinaison et avale le premier gel de la journée.
08h20 : je sors du parc, fais coucou à mes filles et c’est parti pour plus de 180 km de vélo… je décide de partir tranquillement… malgré ce tempo modéré je double beaucoup de monde… avec Nico, on avait beaucoup discuté de la partie vélo : rythme, tpm, cardio… hier soir encore je ne savais pas comment l’aborder… maintenant je sais et décide de ne jamais me faire mal aux cuisses… je monte donc les quelques côtes tranquillement, avec tout à gauche et sur le plat j’amène un braquet modéré à 88 tpm environ… on verra…

11h05 : je termine ma première boucle… tout s’est bien passé… je me suis alimenté comme je l’avais prévu… un gel toutes les heures et deux gorgées toutes les 07 minutes (mon bipper me rappelle en cas d’oubli !)… j’ai vu mes filles… elles m’encouragent… je me relève et tape dans leur mains… cela me fait plaisir et je suis certain que cela va les rassurer… je regarde ma montre : 2h45 de vélo… si je continu sur ce rythme, le tarif sera de 5h30… merde, je pensais descendre sous les 05h10… je rebondi dans ma tête… pas grave, ce sera 5h30… je me rappelle l’objectif du jour… me faire plaisir et terminer… je n’ai pas d’adversaires aujourd’hui…
11h15 : je m’arrête pour satisfaire un besoin naturel… je prends mon temps et profite du paysage avec vue sur le lac.
11h20 : deuxième arrêt pour récupérer mon ravito perso… encore quelques minutes de perdues…
12h ?? : sueurs froides, j’ai crevé roue arrière… je m’arrête et constate en fait un papier de gel coincé dans le dérailleur arrière… ouf…
13h55 : c’est terminé, je pose mon vélo dans le parc… je me sens encore frais mais j’ai des doutes : depuis plusieurs heures j’ai des maux d’estomac, j’ai peur que le marathon se révèle un calvaire…
14h00 : je sors du parc et s’est parti pour plus de 42 km de cap… sur les routes Autrichiennes il y avait plein de monde pour nous encourager… mais ce n’était rien… la foule sera immense à nous encourager tout le long du parcours… Nico m’a dit de partir doucement… je regarde ma montre, ma vitesse instantanée semble osciller entre 11 et 12 km/h malgré mon ventre… je décide que c’est cool…
14h05 : je passe une première fois devant mes supportrices… je lève les bras pour leur suggérer que tout va bien…
A partir de maintenant, je décide de ne plus jamais regarder ma montrer, une seule chose compte, terminer… je vais prendre kilomètre par kilomètre…
Je reste concentré sur mon plan de bataille… boire à chaque ravitaillement et un gel toutes les 45 minutes désormais…
17 km… j’arrive bientôt au semi… tout va bien… il fait chaud mais je me rafraichi à chaque ravitaillement avec des éponges et des cubes de glaces que je glisse sous la trifonction…
J’ai désormais une hantise… c’est le kilomètre 27… celui-là même où j’ai explosé au marathon de Strasbourg… il arrive…
30 km… tout se passe toujours bien pour moi… par contre je viens de croiser Franck pour la seconde fois… il marche et semble exténuer… que va-t-il m’arriver ? Mais non, les kilomètres continuent de s’enchainer et toujours pas de problèmes particuliers d’autant que depuis le kilomètre 13 mes maux de ventre ont disparu…
Je recroise Franck… il me regarde et me fait un geste m’indiquant qu’il n’en peut plus… il faut que je continue à avancer… j’ai désormais très soif et à chaque ravito je bois de l’eau, de la boisson énergétique et du coca…
Enfin le kilomètre 39, c’est sûr maintenant, c’est gagné, je vais être finisher… je décide de regarder ma montre… 10h4?... même si je termine en marchant, je vais descendre sous les 11h… c’est jubilatoire… je décide de ralentir volontairement pour profiter de l’instant…
40 Km… c’est l’alerte… un pincement derrière la cuisse me suggère l’arrivée d’une crampe… je suis les conseils de Nico… je ralentis encore l’allure…
42 km… j’en suis certain c’est gagné… je croise une dernière fois mes filles, elles sont folles de joie et je lève les mains comme un vainqueur…
J’arrive à quelques dizaines de mètres de la ligne… je suis très égoïste et souhaite savourer seul ce moment… je me retourne et décide de m’arrêter et de laisser passer les deux concurrents qui sont à mes trousses… je veux être seul sous le portique d’arrivée…
FINISHER, c’est fait ANYTHING IS POSSIBLE…


Le bilan est rapide: grosse préparation encadrée de main de maître par Nico… une aventure humaine, familiale et sportive extraordinaire…vivement l’an prochain

Christophe Marlier



02 octobre 2013

Retour sur le Triathlon XL 2013 de Gérardmer-France 

Récit de Julien  M: triathlète suivi par T-Pace

LE TRIATHLON XL DE GERARDMER COMME « APOTHEOSE » DE CETTE SAISON 2013 DE TRIATHLON !

Après avoir réussi mes deux premiers objectifs de début d’année (les championnats de France LD à Calvi et les mondiaux LD de Belfort ), il me restait à confirmer en cette fin de saison à Gérardmer. Ma dernière participation au XL s’était soldée par un abandon, et ma meilleure performance en 2009 était  une 140e place en 5H36’ (NAT : 32’ VELO : 3H14 CAP : 1H43’).
Avec Nicolas nous nous étions fixé un objectif ambitieux, faire aux alentours de 5H15’ !
Malgré une préparation spécifique tronquée ( 4 semaines !!), la course s’est idéalement passée avec une progression dans les trois disciplines, pour finalement boucler l’épreuve en 5H17’ à la 99e place( NAT : 30’18’’ VELO: 3H06’ CAP: 1H35’ ) ; soit une amélioration de 5,7% de ma meilleure performance !!!!
MERCI à T-Pace pour son soutien et son professionnalisme.
Rendez vous l’année prochaine avec la team T-pace pour passer sous les 10H à l’IRONMAN d’Autriche !